CHIMÈRES d’éternité
N’étiez-vous qu'une brume
dans ma tête
Une volupté sur les grains de la plage effacée par le flot
Ces mots ce cœur ne sont-ils plus que les hiéroglyphes
Que la tombe butin des pillards au fond des pyramides
Une volupté sur les grains de la plage effacée par le flot
Ces mots ce cœur ne sont-ils plus que les hiéroglyphes
Que la tombe butin des pillards au fond des pyramides
N’étiez-vous qu’un
soupir et le souffle perdu
Les vagues d’un frisson sous des étoiles oubliées
Un souvenir de vérité perdue ou usée en chemin
Un monde que nous savions arrêter en narguant la mort
Les vagues d’un frisson sous des étoiles oubliées
Un souvenir de vérité perdue ou usée en chemin
Un monde que nous savions arrêter en narguant la mort
Quand souverains nuages
blancs nous regardions la terre
Forgerons d’éternité visiteurs d’un rêve incandescent
Dans l’immuable folie d’immortelles secondes
Vous étiez pourtant la marée jour et nuit d’un regard
Vous étiez la mer qui n’en finit pas et l’horizon
Aurions-nous été au bout des jours
Une vapeur un rêve une émotion ?
Forgerons d’éternité visiteurs d’un rêve incandescent
Dans l’immuable folie d’immortelles secondes
Vous étiez pourtant la marée jour et nuit d’un regard
Vous étiez la mer qui n’en finit pas et l’horizon
Aurions-nous été au bout des jours
Une vapeur un rêve une émotion ?
lundi 11 février 2013
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