mardi 15 septembre 2009

Gueule de bois



SOMBRA Y SOL



Les soirs sombres de bonne lumière
Quand dans les verres crient les tropiques
Quand les peaux serpentent de parfums

Les yeux comme d’obscures étoiles
Boivent les sensations de satin
Les frais paradis où sourit l’été ombreux

Quand l’ivresse luit de tous ses vertiges
Sucre d’ébène dans l’arôme des palmes
Sur le paysage naufragé sur la tempête

Un autre monde naît un roman de la nuit
Entre deux pages danse et oubli
Vrai comme un songe
Où le temps aurait dormi



lundi 14 septembre 2009

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