L’été pour rire
Pour rire encore le soleil pleut de rayons
Pour rire encore le soleil pleut de rayons
Sur les lointains de long regardJusqu’au ciel où l’âme est tranquille et chaudeQuand le corps en pays connu oublie l’inquiétude
Comme au nid l’oiseau revenu des cruautésSur les lointains de long regardCourent le vent chaud des imaginairesEt l’idée à pas lents où naissent les certitudes
Et l’incertitude qui s’arrête en cheminJusqu’au ciel où l’âme est tranquille et chaudeDans la course de son chantL’oiseau a conquis son royaume
Dans la sève embrassée l’écureuil sème des jeuxAvant d’atteindre sa nuit de lac endormQuand le corps en pays connu oublie l’inquiétudeLes toits et les murs nagent dans la saison de passage
Portant la livrée des collines des rires et des boisQuand le tableau hors d’haleineAprès la traversée du marbre et des glacesRedit la fête qu’on n’osait plus croire
lundi 19 octobre 2009