Schéhérazade et la mer
Sur le royaume ont fleuri les gemmes des couleurs
Dans le printemps qui voile encore ses arbres diaphanes
Tandis que derrière le buisson déchiré d'or
Coulent l'infini des prés et la mer avec ses flots de chevelures
Après l'exil aride des songes de douceur s'éveillent
Et l'âme inquiète ouvre sa corolle au soleil
Ce soir vers l'Occident où s'allument les djinns du feu
La mélodie d'un luth apaisé montera dans la brume
Dans le printemps qui voile encore ses arbres diaphanes
Tandis que derrière le buisson déchiré d'or
Coulent l'infini des prés et la mer avec ses flots de chevelures
Après l'exil aride des songes de douceur s'éveillent
Et l'âme inquiète ouvre sa corolle au soleil
Ce soir vers l'Occident où s'allument les djinns du feu
La mélodie d'un luth apaisé montera dans la brume
dimanche 25 avril 2010
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