Brel Stevenson et Gauguin
O Aphrodite de
lumière et d’améthyste
Quotidienne parmi le rouge et l’or des fruits
Surgie d’une mer que rien n’attriste
Parmi la moiteur oubliée dans la vague qui bruit
Ile du souffle simple sauvage et tranquille
Paradis contemplé du cosmos Joyau d’émeraude
Découvert dans le regard d’un dieu
Dans le temple où l’art sinue souple et cru
Dans un monde achevé au premier jour
Où le corps déjà trop léger va s’endormir
Ivre dans le lit des couleurs qui dansent
Encensé et paisible dans les senteurs du tiaré
Quotidienne parmi le rouge et l’or des fruits
Surgie d’une mer que rien n’attriste
Parmi la moiteur oubliée dans la vague qui bruit
Ile du souffle simple sauvage et tranquille
Paradis contemplé du cosmos Joyau d’émeraude
Découvert dans le regard d’un dieu
Dans le temple où l’art sinue souple et cru
Dans un monde achevé au premier jour
Où le corps déjà trop léger va s’endormir
Ivre dans le lit des couleurs qui dansent
Encensé et paisible dans les senteurs du tiaré
mercredi 22 août 2012
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