PARADISIAQUE
L’Eden luxuriant des déraisons
et des chimères
Son parc des beaux-arts Ses évasions du regard
Ses fleuves d’émeraude qui scintillent et voyagent
Ah j’aurais aimé la majesté du monde aux premiers âges
Son parc des beaux-arts Ses évasions du regard
Ses fleuves d’émeraude qui scintillent et voyagent
Ah j’aurais aimé la majesté du monde aux premiers âges
J’aurais craint sa géante
apothéose et l’infini des sous-bois
Ses frondaisons d’utopie L’appel inconnu de créatures sans nom
Le regard enivré du joyau des pétales des corolles sans fond
J’aurais respiré l’opium en liberté de prodigieux parfums
Ah j’aurais découvert la mer et l’infini qu’on interroge
Celui des mystères du silence De l’audace toute nue
Sur la caresse du sable ignorant les horloges
Je t’aurais attendue
Ses frondaisons d’utopie L’appel inconnu de créatures sans nom
Le regard enivré du joyau des pétales des corolles sans fond
J’aurais respiré l’opium en liberté de prodigieux parfums
Ah j’aurais découvert la mer et l’infini qu’on interroge
Celui des mystères du silence De l’audace toute nue
Sur la caresse du sable ignorant les horloges
Je t’aurais attendue
lundi 27 août 2012
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