PROVISOIRE
À bride abattue
est-ce l’éternité qu'on poursuit
On choisit le voyage on prend tous un billet
Vers la frontière vers le rêve inconnu
Vers Golconde les terres de soie et de riz
Où l’herbe est plus verte et sourit
A travers temps et saisons la nature va son train
Nu ou neuf l’arbre reste l’herbe renaît
Et la rivière n’en finit pas
Le soleil réveille les jours
L’oiseau peuple branches et haies
On choisit le voyage on prend tous un billet
Vers la frontière vers le rêve inconnu
Vers Golconde les terres de soie et de riz
Où l’herbe est plus verte et sourit
A travers temps et saisons la nature va son train
Nu ou neuf l’arbre reste l’herbe renaît
Et la rivière n’en finit pas
Le soleil réveille les jours
L’oiseau peuple branches et haies
L’air que l’on blesse reste fidèle nourricier
Comme l’écureuil et ses rousseurs nerveuses
Après la perce-neige l’iris revient
Et la primevère et l’anémone
Qui sème de blancheurs les sous-bois
On choisit le voyage on prend tous un billet
La neige passe et meurt sans choisir
La neige passe et meurt sans choisir
mercredi 27 février 2013
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