SILENCES DE L’ORACLE
La porte de lumière est morose et mouillée
Un jour comme un autre pourtant est venu
Vers quel sourire lever les yeux aujourd’hui
Le pas fuit l’herbe rassasiée de rosée
Ne reste-t-il que les sentiers de ma tête
Ne reste-t-il que la mine à creuser jusqu’au bleu salvateur
Vers quel sourire lever les yeux aujourd’hui
Le pas fuit l’herbe rassasiée de rosée
Ne reste-t-il que les sentiers de ma tête
Ne reste-t-il que la mine à creuser jusqu’au bleu salvateur
Où se cache-t-il le dieu des vérités ?
lundi 28 avril 2014