Comme un grand cru il respire l’air
Du matin qui tire le rideau des brumes
à l’heure où s’allume
l’aube de feuDu matin qui tire le rideau des brumes
Et ses notes de chanson incendiée
D’un nouveau jour il
s’émerveille
De chaque instant qui vient les mystères
Sont sa messe et son bréviaire
Et la feuille du frêne est son bateau sur la rivière
Son temps des rêves roule avec le flot en voyage
Sur l'onde le ciel est à portée de main
Sur l'onde le ciel est à portée de main
Sur son château enchanté veille une haie paisible
Et dans sa tête roule un express invisible
dimanche 9 septembre 2018
dimanche 9 septembre 2018
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