Plutôt de Beethoven
un concerto en do mineur
Qu’un téléphone qui
sonne d’aussi bonne heure
Ma nature hait la sonnerie inhumaine
Grossière qui s'invite dans
le clos de mon domaine
Quand je parle au
chat aux herbes de l’été
En savourant le silence l’air hébété
Virgile ignorait les
factures du téléphone insidieux
Leur préférant le
commerce des muses et des dieux
Intrus mal venus
écrivait sur le huis de sa Méditerranée
Durrel plongé dans les Quatuors de l’année
Comme lui me faire
voler mon temps me rend grognon
Perdre mon argent
quand je le juge bon c’est mes oignons
mercredi 3 octobre
2018
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