Comme une Afrique un brasier sur les pierres
Il fut un été jamais je n’oublierai
Fleuri de Bonnard de Matisse de fritillaires
Eté rouge et noir bon grain dans l’ivraie
En soixante-douze l’herbe était tendre
Les coteaux verts Nous juste plus qu’épris
Ta jupe était légère Où trouver à s’étendre
Était l’impatient premier souci
A saute-ruisseau nous avons joué
Notre nid d’oiseaux nous l’avons trouvé
Vainqueurs de l’été et de sa torpeur
Il fut un été jamais je n’oublierai
Fleuri de Bonnard de Matisse de fritillaires
Eté rouge et noir bon grain dans l’ivraie
En soixante-douze l’herbe était tendre
Les coteaux verts Nous juste plus qu’épris
Ta jupe était légère Où trouver à s’étendre
Était l’impatient premier souci
A saute-ruisseau nous avons joué
Notre nid d’oiseaux nous l’avons trouvé
Vainqueurs de l’été et de sa torpeur
De rougir de pécher nous n’avions pas peur
Tes joues déjà roses ont pris des couleurs
Soixante-douze péché avoué
L'été l'été de toutes les chaleurs
Soixante-douze l'été pardonné
vendredi 26 juillet 2019
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