QUI S'EN SOUCIAIT ALORS ?
Le naturel marchait toujours de notre pas
L’or du Rhin dans sa vallée
Les murailles des châteaux
Villes de rencontre
Villages sous les pluies malvenues
Souterrains de nuit inconnue
Aux abimes grand-ouverts
La montagne des brumes avançait
Les vagues étaient franchies
Les merveilles flamboyaient
Au grand jour des couleurs
Feux de jeunesse vive et sûre
Qu’un regard ignorant ignore
Aujourd’hui avait toujours été
Et serait à jamais
Au pays des mains tenues
Le naturel marchait toujours de notre pas
Qui s’en souciait alors
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