On a passé le bac et revoici la mer et la plage et les amourettes des vacances et les
RIVAGES
ô le silence où bat le cœur
Où flambent la fin du jour et ses lointains de lumière
Où se consume l’horizon aux mesures de la terre
La vague verse sur le sable étendu sa caresse mouillée
Allumée vite bue aussitôt revenue
ô le silence où bat la soif d’un monde éternel
Le cœur y berce des enfances
Dans l’anse
Où le rocher solitaire regarde l’autre monde
jeudi 9 juillet 2009
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