Ulysse encore
Il y a ma Grèce aux sommets tout refroidis
Chaque olivier au vent y rêve d'infinis
Forêts d'heureux augure aux arômes d'anis
Aux yeux grand-ouverts sur de neuves Arcadies
Il y a ma Grèce aux sommets tout refroidis
Chaque olivier au vent y rêve d'infinis
Forêts d'heureux augure aux arômes d'anis
Aux yeux grand-ouverts sur de neuves Arcadies
Chaque année là s'envolent chantent et font la fêteAu premier printemps tous les cris des alouettes
La rouge bacchanale y fait tourner les têtes
Là-bas où neigent dru les pensées d'épictète
La rouge bacchanale y fait tourner les têtes
Là-bas où neigent dru les pensées d'épictète
Athènes fête sa Minerve au ParthénonLe bleu des Cyclades la lyre d’ApollonEt ces dieux grecs dont j’ignore encore le nom
Ici sont mon Iliades mes Odyssées intrépides
Dans ma chambre je suis Homère et Sophocle
Je suis un dieu songeur qui rêve sur son socle
lundi 31 août 2009
Je suis un dieu songeur qui rêve sur son socle
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