
CONNAISSANCE DU MATIN
Les yeux naissent à l’aube d’un monde sans nom
Hôtes de mots incertains de ciels muets et hautains
A reculons ils s’aventurent dans un secret malvenu
Quand le souffle et le cœur hésitent en chemin
Vapeurs d’un jour après la paix des herbes d’hier
Dans l’air où le corps et l’esprit délaissent l’hiver
Quand la vie dit aux yeux le silencieux souvenir
De sédative verdure d’éternités de passage
Petit Poucet confus en attente chimérique et grise
Avant qu’en serpent céleste se posent les arbres
Que se plante le village sur l’horizon des désarrois
Sur l’incertain sentier éclate enfin l’hymne des espoirs
La journée joue ses mots clairs comme lame d’acier
Aux brumes du monde le soleil trouve son mot à dire
mercredi 2 septembre 2009
Les yeux naissent à l’aube d’un monde sans nom
Hôtes de mots incertains de ciels muets et hautains
A reculons ils s’aventurent dans un secret malvenu
Quand le souffle et le cœur hésitent en chemin
Vapeurs d’un jour après la paix des herbes d’hier
Dans l’air où le corps et l’esprit délaissent l’hiver
Quand la vie dit aux yeux le silencieux souvenir
De sédative verdure d’éternités de passage
Petit Poucet confus en attente chimérique et grise
Avant qu’en serpent céleste se posent les arbres
Que se plante le village sur l’horizon des désarrois
Sur l’incertain sentier éclate enfin l’hymne des espoirs
La journée joue ses mots clairs comme lame d’acier
Aux brumes du monde le soleil trouve son mot à dire
mercredi 2 septembre 2009
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