VOICI VENU LE TEMPS
DES CAVALIERS
mon âme sœur Par les rues de l’angoisse
obscure
Sache que mes pas ont perdu la route
Par les rues mes héritiers fuient la lumière
Vers la Géhenne où dorment les démons
Sache que mes pas ont perdu la route
Par les rues mes héritiers fuient la lumière
Vers la Géhenne où dorment les démons
Âme sœur entends notre cœur dans l’ombre
Dans les profondeurs
Où le néant a noyé
Nos nuits écoute nos confidences
Dans les profondeurs
Où le néant a noyé
Nos nuits écoute nos confidences
Au royaume du soleil perdu
Où le mal a dérobé la clarté
L’âme sans ailes a semé ses spectres
Où le mal a dérobé la clarté
L’âme sans ailes a semé ses spectres
L’ange est tombé La ville pleure ses plaines stériles
Les vierges endeuillées contemplent
Au crépuscule la pourpre glacée des torrents
mardi 14 février 2012