Pour B.L.
SANS BARREAUX
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des mappemondes
Voir les lointaines longitudes où seraient nos partirs
Où l’eau n’a rien à cacher des émeraudes des saphirs
Qui jour et nuit habillent les secondes
Voir les lointaines longitudes où seraient nos partirs
Où l’eau n’a rien à cacher des émeraudes des saphirs
Qui jour et nuit habillent les secondes
Où l’hiver rayonne de
ruisseaux de soleil
Dans un hameau où dort la fée timide et sans pareil
Dans le secret de nos jardins d’Ispahan
Ou encore à Angkor où méditent les éléphants
Dans un hameau où dort la fée timide et sans pareil
Dans le secret de nos jardins d’Ispahan
Ou encore à Angkor où méditent les éléphants
Trouver la maison
paisible et sa douceur profonde
Le paradis comme une fumée comme un goût de goyave
Comme le marbre dans la fontaine et son murmure
Comme un amour silencieux et sa présence sûre
Le paradis comme une fumée comme un goût de goyave
Comme le marbre dans la fontaine et son murmure
Comme un amour silencieux et sa présence sûre
samedi 5 janvier 2013
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