HORIZON SUD
Nuit d'été dans l'air muet
Où l'esprit fait sa demeure
Dans tes profondeurs
Mes voyages ouvraient
L'immensité bleue des harmonies
Nuit d'été dans l'air muet
Où l'esprit fait sa demeure
Dans tes profondeurs
Mes voyages ouvraient
L'immensité bleue des harmonies
J'avais la mer d'iode et de sel
À la bouche Les vagues
Suivant ou fuyant mes pas
Mes pensées avaient le goût de l'oursin
Le mordant des fraîcheurs courant au hasard
Lourdes du souvenir d’abysses obscurs
Suivant ou fuyant mes pas
Mes pensées avaient le goût de l'oursin
Le mordant des fraîcheurs courant au hasard
Lourdes du souvenir d’abysses obscurs
L'air était de jeunesse de cigales
Brodé de mas de chaume et de blanc
Le sable et la vague étaient le royaume
La conquête du cheval aux longs crins
Sous les horizons de flamands roses
Brodé de mas de chaume et de blanc
Le sable et la vague étaient le royaume
La conquête du cheval aux longs crins
Sous les horizons de flamands roses
Le parfum des sirènes fleurissait l'air des jours
L'aventure nous mangeait dans la main
Parmi les sarments qui marchaient au pas
Sous les
rochers cathares
samedi 5 avril
2014
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