Il pleure sur la vitre
Il était de passage
ce rayon d’espoir
D’espoir que ce jour
redirait des chansons
Celles que la fenêtre ouverte
appelle jusqu’au soir
Quand les secondes ne
sont que lumière et sons
Quand un oiseau peint
en couleur le tableau
D’un oiseau sur la
branche morte et nue
Que le monde qui change
invite dans son temple nouveau
Où la joie bariolée de
vie qui rigole est revenue
Et c’est le paradis
qu’à nouveau l’on contemple
Quand la beauté tisse
mille joies de ses mille écheveaux
Mais hélas voici que la pluie
Attriste la vitre de ses pleurs à nouveau
samedi 13 février 2016
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire