Plus loin c’étaient les abysses verts
Les eaux vierges où noircissent des profondeurs
Où flottent d’incompréhensibles barques
Qui parlent à demi-mot de lointains imprécis
Et sur l’or du fleuve égarent l’entendement
Quand avec sa crainte on est seul parmi les autres
Sous l’arche du pont
Où la rivière tremblante parle doucement
dimanche 27 août 2017
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