Neptune est fâché il loge chez Vulcain
et les Néréides pleurent
Virgile a sur l’âme les embruns de
l’automne froid et glauque
Mythes qu’on
croyait éternels les mers sont mortelles
Aux vagues berceuses nous accrochions
des voyages
Des lapis-lazulis des émeraudes et le
parfum des goémons
Et les voici aujourd’hui désert et vallées mortes
Où se sont-elles enfuies les sirènes
qui chantaient pour Homère aux yeux fermés
mardi 7 mai 2019
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