dimanche 3 mai 2020

Vénus à jamais


Beauté ô mon église
Beauté mon algue mon poisson sous la mer
Assoiffée d’âme qui nage et crie de doux silences
Caresse de l’âme infinie

Beauté ô mon église
Beauté mon arbre mes racines sous la terre
Naïade de mes enfances en allée comme le pèlerin
Sur l’eau de Tibériade

Beauté ô mon église
Beauté comme un colosse dans le nuage
Là où l’hirondelle où le faucon se perd
Dans le bleu des commencements du monde

dimanche 3 mai 2020

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