Beauté ô mon église
Beauté mon algue mon
poisson sous la mer
Assoiffée d’âme qui
nage et crie de doux silences
Caresse de l’âme
infinie
Beauté ô mon église
Beauté mon arbre mes
racines sous la terre
Naïade de mes enfances
en allée comme le pèlerin
Sur l’eau de
Tibériade
Beauté ô mon église
Beauté comme un
colosse dans le nuage
Là où l’hirondelle où
le faucon se perd
Dans le bleu des
commencements du monde
dimanche 3 mai 2020
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