Flottent-elles tes pensées de libellule
Contre ton front le mien souvent les
écoute
Que disent-ils tes yeux sereins qui
sourient
Comme sur les dunes un soleil d’après-midi
Quand le bonheur a du cœur
Est-ce la vie qui t’amuse
Et ses ironies familièresDe ses espiègleries insensées
Tu n’as pas gardé rancune
Sur ton lit de patience tu ne comptes
plus
Les heures et les silences
Venue de tes sommeils quand tu ouvres les yeux
Ta sagesse est inépuisable et sûre on diraitTu es l’arbre qui a grandi dans l’histoire du vent
Gardes-tu derrière tes paupières
Un paradis tranquille qui veille et qui
t’attend
samedi 22 juin 2019
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