Jacques Calot Mendiant
Pèlerin sur ma route
serpentine marchant
Dans le sauvage hiver vieillard aventurier
En ce lundi de paix par
une horde maline
D’automobiles
impatientes mitraillé
J’affronte des frimas
ensoleillés saluant
Blancs et dénudés mes amis les noyers
Un reste de brume et
d’horizon opaque
D’anciens sillons desséchés
silex et flaques
Descubridor glorieux comme Colomb décelant
Descubridor glorieux comme Colomb décelant
D’un continent inouï Indiens et trésors nouveaux
Juché sur mes béquilles héroïques
Juché sur mes béquilles héroïques
J’ai franchi des distances
épiques
Trois cents mètres
jusqu’à la Forge à l’Eau
mercredi 22 janvier 2020
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire