Je me disais, en regardant s'affairer les oiseaux
dans le paysage ingrat et déplumé de l'hiver,
que nous aurions mauvaise grâce, nous les rois
de la création, à grogner et à nous plaindre de
la saison, quand leur fragilité affronte les
éléments
impitoyables !
Je me disais, en regardant s'affairer les oiseaux
dans le paysage ingrat et déplumé de l'hiver,
que nous aurions mauvaise grâce, nous les rois
de la création, à grogner et à nous plaindre de
la saison, quand leur fragilité affronte les
éléments
impitoyables !
SOLITUDE EN VERT
Toujours tête en l’air oiseaux dans la vie dure
Chaque jour par vous le monde est monde
Le vide oublieux de soleil et le matin qui se tait
Vos téméraires envolées n’en ont cure
Voyageurs des lointains des galaxies profondes
Dans l’arbre de vie éclairs de plumage parfait
Graines d’azur dans le champ des paysages
Rois des cimes et des saisons dont vous êtes les sages
Vous êtes les amis lointains et précieux
Nous envions vos envols et vos ciels de nos yeux
Jaloux de vos gazouillis plus lourds que l’air
Nos songes sont de plomb et rampent sur la terre
jeudi 26 février 2009
Chaque jour par vous le monde est monde
Le vide oublieux de soleil et le matin qui se tait
Vos téméraires envolées n’en ont cure
Voyageurs des lointains des galaxies profondes
Dans l’arbre de vie éclairs de plumage parfait
Graines d’azur dans le champ des paysages
Rois des cimes et des saisons dont vous êtes les sages
Vous êtes les amis lointains et précieux
Nous envions vos envols et vos ciels de nos yeux
Jaloux de vos gazouillis plus lourds que l’air
Nos songes sont de plomb et rampent sur la terre
jeudi 26 février 2009
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