MANÈGE DES MUSIQUES
En vagues défilent les walkyries dans le matin de mai
La mer lourde marche au pas où le printemps court
Au Sahara le concerto espagnol sème ses embruns d’Alhambra
Le violon alangui s’étire et caresse les sables fins les sables d’or
À Dunluce le soir la viole est de brume et de rêve gris vert
Sur la lande à Dunluce où le vent sent la tourbe mouillée
L’esprit valse et chavire comme sur la vague un navire enivré
Mes rêves éblouis dans le matin nouveau ont perdu le chemin
samedi 23 mai 2009
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