fruits du
monde
Il y a ici
le printemps et tous les fruits du monde
Disait le serpent sans qu’on l’entende
Déjà nous étions au paradis où les heures sont rondes
Où les souvenirs sont bleu d’Ostende
Disait le serpent sans qu’on l’entende
Déjà nous étions au paradis où les heures sont rondes
Où les souvenirs sont bleu d’Ostende
Nous étions
tous les chemins du monde
Dans nos yeux brillaient des voyages
Une seule saison sur nos corps illuminés
Et nous à pas de fée dans le jardin d’Eden
Dans nos yeux brillaient des voyages
Une seule saison sur nos corps illuminés
Et nous à pas de fée dans le jardin d’Eden
Nos
années étaient d’abondance et fécondes
Nous tendions la main pour saisir le ciel au vol
Les mélodies s’habillaient de poésie
L’heure oubliait l’heure au temps de l’amour fol
Nous tendions la main pour saisir le ciel au vol
Les mélodies s’habillaient de poésie
L’heure oubliait l’heure au temps de l’amour fol
Il y a ici
le printemps et tous les fruits du monde
Dit le serpent Aujourd’hui on l’entend
On le sait On s’habitue La terre est ronde
On a déjà consommé On attend le printemps
Dit le serpent Aujourd’hui on l’entend
On le sait On s’habitue La terre est ronde
On a déjà consommé On attend le printemps
lundi 21
mai 2012
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