COLLINE
Le soleil était
vainqueur
Offrande à l’été la
beauté osait être
Nue promeneuse et timide
Le temps ne s’arrête
plus pour la gitane
Vers l’église les
rêves sont à l’étroit
Sans la ligne où
l’horizon s’enfuyait
Le soleil inlassable
n’accueille plus
Nos errances
nonchalantes
La mousse oublie nos
embrasements
Et Virgile a comme un
vague à l’âme
mardi 24 juillet 2012