PABLA
Petit être comme une
caresse
Avec ton cœur entre mes mains
Avec ton pelage de vagues sur la nuit
Tu chargeais intrépide
Poussant ta vie ta faim et ta tête sans peur
Tes appels d’oiseau disaient je suis là
Sur chacun de mes pas je garde
Le labyrinthe inlassable
De tes affections à quatre pattes
Et les deux questions de tes yeux
Avec ton cœur entre mes mains
Avec ton pelage de vagues sur la nuit
Tu chargeais intrépide
Poussant ta vie ta faim et ta tête sans peur
Tes appels d’oiseau disaient je suis là
Sur chacun de mes pas je garde
Le labyrinthe inlassable
De tes affections à quatre pattes
Et les deux questions de tes yeux
lundi 12 novembre
2012
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