FORTUNE
Et vous êtes passé comme
l’oiseau qui dans la vitre se mire
Avec votre amour trop aveugle pour un soleil qui n’osait dire
Pour l’oiseau de son regard de soie que vous n’avez su voir
L’âme masquée qui cherchait au creux des choses simples
L’une qui vous cherchait en silence au creux du labyrinthe
Vos pas jamais ne referont son chemin elle est passée
La neige peut-être est tombée sur les soleils de vos étés
Avec votre amour trop aveugle pour un soleil qui n’osait dire
Pour l’oiseau de son regard de soie que vous n’avez su voir
L’âme masquée qui cherchait au creux des choses simples
L’une qui vous cherchait en silence au creux du labyrinthe
Vos pas jamais ne referont son chemin elle est passée
La neige peut-être est tombée sur les soleils de vos étés
vendredi 5 juillet
2013