MOURIR UN PEU
Le cœur inquiet
hésite sur la route sans nom
Partir pourtant c'est l’or c'est l’orient des légendes
Le rêve vague et
lointain l’escale à Ostende
Toutes les îles dont résonne le renom
Laisser ce foyer où
nous nous enracinons
Nous déchire l’âme et
la terre est si grande
La mer calme du
confort retient et commande
Saurons-nous rompre
le lien pour enfin dire non
On traîne l’on hésite
à boucler la valise
On écoute encore la
sonate à élise
On reste de sel tel la
femme de Loth
Quand enfin on ose
prendre la clé des champs
C’est l’abondance Noel
nous vide sa hotte
On respire enfin Le monde
est devenu grand
samedi 11 février
2017
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