Dans le lit de la
nuit les mots endormis
S’éveillent aux
heures sages
La gloire de vivre
troue les brumes timides
Dans une envolée de
pinceaux
La chambre prend des
couleurs
L’air s’est taillé un
habit de lumière
Les arbres tristes n’ont
rien à se mettre
Au dehors où le
perce-neige s’aventure
On entendrait cependant
Comme un refrain de
printemps
lundi 13 février 2017
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