Savane champ de blé
Le couchant ton orfèvre borde de lumière ton regard assoupi
Le couchant ton orfèvre borde de lumière ton regard assoupi
Le temps encore aujourd'hui m’a fait présent d’un livre d’heures
Ébloui sans mot je
bois cet instant où tu renais dans l’autre monde
Dans le temple du
ciel qui flambe je suis le croyant de l’inconnu
Suis-je l’oiseau le
flottement d’un nuage que l’infini dévore
Ou les univers
venus des siècles profonds
Suis-je le vautour
pacifique aux ailes déployées qui étreignent l’univers
Ou l’oiseau Quetzalcóatl
qui régnait là-bas
Par delà les royaumes
de la déesse des fontaines
Aurais-je trouvé ce soir l’El
Dorado du songe sans fin
samedi 1er juillet
2017
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