À la frange des clapotis de dentelle
Sur
la rive de solitude pensive
Les
ruines du mur savent depuis le temps
Qu'un
souffle n’a pas de geôlier
Près du
sable qu'apeure l’air du large
Comme une
terre maternelle
La
tourbière s’épanouit en rondeurs de baigneuse
Sœurs de
l’herbe et des buissons
Parmi la
bruyère brune
Comme une
abbaye d’ardoise et de chaux
Comme un
vœu de pauvreté
Une
maison a poussé dans les cantiques du vent
dimanche
9 juillet 2017
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire