vendredi 11 janvier 2019
Le rêveur du val
Un coin de campagne qui n’existerait pas
Et
de l’herbe et des feuilles au bout des sillons
Du soleil bien sûr des rayons par millions
Une rivière chanterait tout en bas
Vallée
timide qui ne sourirait qu’à moi
Qui
serait juste profonde comme un mystère
Un rêve aux confins de la terre
Robinson
sans couronne j’y serais le roi
Tu
porterais sur tes cheveux longs un voile
Tu
serais mon village ma maison mon étoile
Et
tes airs de reine ne seraient jamais fiers
Un
jardin y fleurirait où rit l’ancolie
Où
ruissellent des accords sans mélancolie
Nos enfances y habiteraient leur pays
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