Plumets de gaze de coton aéronautes de rien
Douces dents-de-lion mortes
au fil de l’air
Brume dans l’âtre d’escarbilles en fête
Parfumée de fumée danse
miraculée de rouge
Air qui palpite qui ondoie dans l’été
Regard déjà perdu invisible
au fil du courant
Si léger papillon de
pensée
Dans le jardin parfumé
Comme une marguerite
Viens
T’écrire
Ici
Sur la page
mercredi 9 janvier
2019
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire