
Presque l’été et cette voix, cette chanson rencontrée, mélodie du passé, retrouvée, comme une amie sucrée salée, dans le soleil insistant…
DANS LES jardins d’hier
Ces voix ces mots et loin d’ici
Le cœur voyageur au long cours
Au pays où les larmes s’apprêtent
Au pays des longues faims
Mots semailles d’orage
Mots de la pluie
Sans fin à la fenêtre
Frissonnant de souvenirs
Ces voix ces mots et loin d’ici
Le cœur voyageur au long cours
Au pays où les larmes s’apprêtent
Au pays des longues faims
Mots semailles d’orage
Mots de la pluie
Sans fin à la fenêtre
Frissonnant de souvenirs
Voix de la plaie agacée
Réveillée comme un amour assoupi
Qu’on écoute pour n’en perdre
Ni sucre ni goutte de fiel
Réveillée comme un amour assoupi
Qu’on écoute pour n’en perdre
Ni sucre ni goutte de fiel
Ruisseau murmurant des douceurs
Parfum de citron amer
Chant gris des paradis emmurés
Nourris et bercés de douleurs
Parfum de citron amer
Chant gris des paradis emmurés
Nourris et bercés de douleurs
dimanche 15 mars 2009
1 commentaire:
Mots semailles qui palpitent dans le silence du jardin...
Puis des murmures, des chuchotis, des bruits...
Enregistrer un commentaire