ARCANES DU JOUR
Le pinson brille d’un chant décidé
Là derrière le mystère des persiennes
Une abstraction Un piano de lumière et de nuit
Mais que le jour existe on n’oublie jamais
Là derrière le mystère des persiennes
Une abstraction Un piano de lumière et de nuit
Mais que le jour existe on n’oublie jamais
Les arbres attendent là dehors bien sûr
Et le ciel obligatoire gris et morose
Coiffe l’été d’un bonnet de cafard
La main sur l’épaule
S’emprisonner serait douillet et monacal
Sur le toit le ciel ouvert lance un appel
mardi 26 juin 2012
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