Frissons
J’ai mis le monde en
prison
Le monde inutile
Quatre murs mouillés de nuages
Lui parlent en noir et gris
Le monde inutile
Quatre murs mouillés de nuages
Lui parlent en noir et gris
Je n’entends pas l’arbre
d’automne
Je n’entends plus l’or de ses cris
J’entends le vent à l’haleine de guerrier
Je n’entends plus l’or de ses cris
J’entends le vent à l’haleine de guerrier
Du monde je suis le prisonnier
Quatre murs trempés de nuages
Leurs mots sont noirs et gris
Sur la vitre il pleure des tristesses
Leurs mots sont noirs et gris
Sur la vitre il pleure des tristesses
Sur le gazon les feuilles mortes s’embrument
Elles n’ont que chrysanthème
Et Toussaint à la bouche
Elles n’ont que chrysanthème
Et Toussaint à la bouche
samedi 13 octobre
2012
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