Douceur de l’EXIL
Etre chasseur d’âme
en automne
D’âme et de mots sur quelque nuage
Quelque vapeur quelque fumée
Laisser le soleil devant la porte
Et la vie au dehors avec son cœur qui bat
Créer sa caverne et sa saison loin du ciel
Chaude comme l’été de Camarine
Qui sur les paresses du sable vous accable
Quand le passé à chaque pas vous rencontre
Sous les yeux de l’aloès indifférent
D’âme et de mots sur quelque nuage
Quelque vapeur quelque fumée
Laisser le soleil devant la porte
Et la vie au dehors avec son cœur qui bat
Créer sa caverne et sa saison loin du ciel
Chaude comme l’été de Camarine
Qui sur les paresses du sable vous accable
Quand le passé à chaque pas vous rencontre
Sous les yeux de l’aloès indifférent
Forgeron de chimères
médiévales
Sourd aux fracas belliqueux
Choisir l’autre monde invisible
Où l’on existe roi d’irréalités nouvelles
Sculptant et peignant les utopies diaphanes
Sourd aux fracas belliqueux
Choisir l’autre monde invisible
Où l’on existe roi d’irréalités nouvelles
Sculptant et peignant les utopies diaphanes
dimanche 21 octobre 2012
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