L’eau, le jour et le
ciel
La rivière roule l’averse
de la nuit
Sur sa transparence volée
Sur mes nostalgies limpides
L’été porte des douceurs grises
Des chevauchées de reflets
Le vol proche de martinets
Dans le trésor des feuillages
Une déchirure Quelques rayons
La terre est sûre sous mes pas
Sur l’herbe hospitalière
Mon souffle trouve sa demeure
Mon corps apprend le jour nouveau
samedi 24 août 2013
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