Train d’impatience et
d’ennui
Et la vie qui coule
comme la pluie
L’esprit qui roule livre
endormi
Bercé d’horaires et
de sentiments
L’étoile filante des
lumières qui fuient
Dans mon cosmos
roulant j’invente les instants
Tégévés d’étés
trépassés
Un demi-siècle a
passé
Moins impatientes les
salles d’attente
Apaisés les amours
dans la peau
L’hiver raccourcit le
soir vient plus tôt
Depuis que je me
fréquente trop
vendredi 22 septembre
2017
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