vendredi 22 septembre 2017

EL TREN



Train d’impatience et d’ennui
Et la vie qui coule comme la pluie
L’esprit qui roule livre endormi
Bercé d’horaires et de sentiments
L’étoile filante des lumières qui fuient
Dans mon cosmos roulant j’invente les instants

Tégévés d’étés trépassés
Un demi-siècle a passé
Moins impatientes les salles d’attente
Apaisés les amours dans la peau
L’hiver raccourcit le soir vient plus tôt
Depuis que je me fréquente trop

vendredi 22 septembre 2017

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