Et le cœur dégringole
dans la douceur, comme s’il allait pleurer.
Il est le printemps des glaces la fonte du guerrier
La colère qui
ruisselle jusqu’à la mare d’oubli
Aussi la veine saillante des furies qui
s’efface
La lame du
couteau refermé sur un silence
Comme un passage à
l’heure d’été imperceptible
It s’installe passe
et dispense ses tisanes apaisantes
La chaleur d’un rayon
à la fenêtre un sourire de passante
Comme le chat il a sa
place et sommeille presque invisible
Comme la boussole il
sait le chemin
Qui éclaire
l’obscurité qui égare
Il sait reconnaitre le
front qui s’incline
Vers l’éclat d’un
sourire
La soie d’une peau
L’évidence de l’amour
dimanche 27 mai 2018
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire